The Sad Street Of New York
Bonjour à toi.

La chasse à l'Homme vient de commencer dans New-York. Il s'agit maintenant de survivre. Mutants ou Humains, la question est de savoir si on sera le prédateur ou la proie. Bienvenue sur The Sad Street of New-York.
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 Lorsque je pensais à autre chose...

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Ambre Cavanaugh

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MessageSujet: Lorsque je pensais à autre chose...   Lorsque je pensais à autre chose... I_icon_minitimeMar 10 Nov - 23:34

La journée semblait radieuse en ce jour, d'autant plus radieuse que je m'étais décidée à sortir ; marre d'attendre toute seule à l'appartement, je me laissais tentée par l'aventure...
Je m'ennuyais là-bas (ça vous me direz, c'est habituel), et dans un souffle d'élan, je me levais du fauteuil et décidais de partir. Fermant la porte à clé, après avoir laissé un mot pour Aaron, une légère brise fraiche, en cette période d'automne me fit tressaillir. J'avais presque oublié les sensations que procuraient le vent. Continuant mon chemin, je me laissais guidée où l'instinct m'emmenait, sans but, ni attente. C'est pourquoi je me suis assise sur ce banc, à regarder les gens marcher où discuter.

« Ce quartier se dégrade de plus en plus ; je pense déménager d'ici peu »

Reprenant mes esprits, je me surpris à lire encore une fois sur les lèvres, une vielle habitude que je croyais avoir perdu après 1 semaine ½ d'isolement à la maison. Dans la précipitation je vérifia soudain mes barrières mentales : elles étaient abaissées. Rassemblant mes souvenirs, j'étais maintenant convaincue de ne pas les avoir levées en sortant. Habitude perdue également, qui fit naître en moi une certaine angoisse, en effet, cet oubli était, pour moi, d'un coup beaucoup plus conséquent que le dernier. Préoccupée par mes pensées désormais, un sentiment cette fois beaucoup plus ancien se raviva, sans que je m'en aperçoive tout de suite.

Le jeune discutait avec son voisin, et apparemment, il était mécontent du quartier, pas étonnant. **Quoi que moi ça me convient bien, les gens ne s'intéressent pas aux affaires des autres, chacun mène sa vie comme il l'entend, même si elle n'est souvent pas très respectable.**
Je fus surpris par sa deuxième réponse : « Par contre, chacun mène sa vie sans se soucier de celle des autres, ça c'est un avantage »

Il semblait réellement préoccupé, plus qu'il ne le disait. Et c'est pourquoi cette réplique m'étonnait en particulier parce qu'il se contredit la minute d'après. Le suivant du regard, il quittait son voisin pour remonter la rue. Il surveillait ses arrières, craignant un autre vol... Un humain au Bronx se faisait de plus en plus rare, et il ne voulait plus rencontrer de mutant, la dernière fois lui avait suffi, d'ailleurs, la marque laissée par....

S'en était trop! Je me « réveillais » en sursaut alors que je me surprenais à observer les pensées du jeune homme. Heureusement, je ne les avais pas clairement lues, juste observer ce qu'il en était. Mais c'était déjà trop pour moi, ses histoires ne me regardaient pas, et je ne voulais pas que ça change. Je notais deux choses qui me perturbaient : je ne me souvenais pas avoir traversée la rivière de pensées, passage d'habitude obligatoire pour accéder à l'esprit des gens qui ne se fait pas avec discrétion, et la deuxième remarque était que je n'avais pas fait cet effort, je ne l'avais même pas voulu. Je lisais sur ses lèvres et je me retrouvais dans son psychisme à le convaincre que la vie au Bronx n'est pas si mal qu'il ne le pensait.

En y réfléchissant mieux, mon attitude, dès mon départ de l'appart. me parus plus qu'étrange, je réalisais que quelque chose m'avait guidée ici. Je le savais, cette mutation prenait le dessus, m'attirant dans ses Eaux de pensées, à artiser (utiliser mon pouvoir) sans raison. Cette idée m'affola, si cela recommençait et prenais de l'ampleur, je me fatiguerais sans comprendre pourquoi, jusqu'à en perdre l'esprit... Dans ma précipitation je bousculais quelqu'un,

« Oh pardon... excusez-moi »

[ voir la fiche de recensement, en quoi consiste ma mutation ]


Dernière édition par Ambre Cavanaugh le Mar 10 Nov - 23:59, édité 1 fois
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Faith E. Taylor

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MessageSujet: Re: Lorsque je pensais à autre chose...   Lorsque je pensais à autre chose... I_icon_minitimeMar 10 Nov - 23:44

[H-J Voilà l'amie ce qu'est un HJ]


Je hais les journées ensoleillée ! Dans mon lit, sous la masse chaude et légère des draps, je me laissais bercer par les inspirations d'une personne à mes côtés. Les mèches d'encre balayaient le visage paisible d'Andrew. Notre réconciliation n'était pas totalement conclu mais j'avais néanmoins accepté qu'il reste un peu avec moi pour la nuit. Un petit sourire se dessina sur mon visage quand celui-ci commençait à parler dans son soleil. Comme d'hab', il ronchonnait dans son sommeil. Même Morphée n'arrivait pas à calmer sa nature grincheuse. Les minutes passèrent lentement. Lassive, j'attendais avec impatience que les chiffres rouges se muent en un 10 h 00 du matin. Un, deux, trois... Bingo !

" Allez petit grincheux, il faut qu'on y aille." murmurai-je à l'oreille du bellâtre endormi. Pour seule réponse, j'obtenu un gémissement digne d'un ours au début du primptemps. "Faith je dors...". Sa voix ensommeillée me fit sourire un peu plus. Pire qu'un môme. " Allez princesse, j'ai envie de sortir" continuais-je en triturant une de ses longues méches noires. " Rha tu me soules", visiblement mon homme n'avait pas prévu la même journée que moi. Tanpis, je l'aurai à l'ussure.

Pourquoi mon pouvoir ne consiste pas à voir l'avenir ? Parce que je suis sur que dans ce domaine j'aurai été très douée. Une petite demi-heure plus tard, dans ma pseudo cuisine, je trouvais un Andrew Reeves frais et dispo presque aimable et enfin en accord avec mes désirs de sortie. Bien sur, monsieur n'avait pu retenir un " t'es vraiment pourri gatée !" Puis son visage si dur s'était un peu détendu et un semblant de sourire avait fini par se dessiner sur sa bouille austère.

" Alors on sort ?"
" Je croyais que tu detestais le soleil."
" C'est bien pour ça que je veux qu'on aille dehors, pour que tu me fasses oublier que je le hais."

Un petit air mutin sur le visage, j'enfilais déjà mon manteau. Andrew quant à lui se contentait d'allumer une Malboro. Un air à la fois séducteur et hautain se dessina sur son visage. Il était le seul homme de ma connaissance à posseder ce magnétisme à la fois attirant et dérangeant. Une beauté luxeuse et vaniteuse dans un seul être. Oscar Wilde aurait fait sa connaissance que son Dorian Gray n'aurait pas eu le même visage. Je lui rendis son signe de tête et suivit mon prince du vice dans les rues sineuses de la Big Apple.
Dans les rues du Bronx, au milieu des passants, nous zizaguions comme de jeunes mariés. Mes cheveux roux, flottant sur sa veste ébéne, nous ressemblions à un couple tout droit sorti d'un autre temps. Les regards furtifs s'écorchaient sur la froideur de mon compagnon. Sur personne n'oserait nous aborder. Nous étions en plein conversation, main dans la main quand une jeune femme se heurta à moi. Elle s'excusa dans la seconde tandis qu'Andrew à mes cotés se figea. Ses yeux marrons foncés devinrent presque noirs. Je connaissais cette expression, pas besoin de mot. Il venait de la "repérer" . En effet, Reeves était capable de reconnaitre un mutant dès qu'il posait ses yeux sur lui. Parfois, il arrivait à entrevoir la nature du pouvoir ou bien à évaluer sa puissance. Dans notre cas, je ne savais pas à quoi m'attendre. Je me contentais de sourire et de répondre le plus sincèrement du monde

" Pas de problème, j'ai l'habitude de tomber sur des êtres uniques."

Le sous-entendu ne pouvait être plus clair.
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Ambre Cavanaugh

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MessageSujet: Re: Lorsque je pensais à autre chose...   Lorsque je pensais à autre chose... I_icon_minitimeMer 11 Nov - 22:45

Mais pourquoi j'eus l'impression que je venais de faire la plus monumentale des erreurs en bousculant cette personne? Ce couple aurait pu être le couple parfait de New York mais la convivialité semblait ne pas être leur truc, du moins au premier regard.

Je me relevais précipitamment, en m'excusant encore une fois. J'avais l'intention de repartir comme s'il ne s'était rien passé. Mais quelque chose me retint.
L'homme me fixer étrangement, avec la sensation qu'il me traversait. La femme, d'une beauté étonnante souriait malicieusement, comme si elle comprenait parfaitement ce qui se passait. Ce qui me perturbait c'est qu'ils s'étaient arrêtés derrière moi, et que le mec semblait me reconnaitre ou du moins chercher quelque chose, en moi.

" Pas de problème, j'ai l'habitude de tomber sur des êtres uniques."

Cette réponse n'arrangea pas les choses, j'avais loupé un épisode, il semblait se passer quelque chose et j'ignorais quoi. Peut-être les avais-je déjà rencontrés? Retournant mes souvenirs, il n'en fut rien. Impossible de me souvenir de leurs visages. Je pariais sur des mutants, leur expressions étranges ne collaient pas à un humain, ou a des flics éventuellement. M'avaient t-ils reconnus? Il fallait fuir. Non, mauvaise idée, ce serait trahir mon identité.

Ma tête bouillonnait, tandis que je cherchais de quelle façon réagir. Des mutants? Le Bronx lieu idéal... le regard perçant, mais pourtant vide, de l'homme m'angoissait. Si c'en était un, quel aurait pu être sa mutation? Peut être était-ce un de ces criminels des journaux.
**Vite mes barrières ; abaissées ; mince**, c'est vrai qu'avec le bouleversement précédent, je n'avais pas pris le temps de les remonter. Il me vint alors une idée : prenant le risque, je plongeais dans mes Eaux. La sensation fut différente, juste une impression d'être observée.

Avec stupeur, je découvris un lien très étroit, comme un minuscule ruisseau, en voulant entrer en contact avec lui. Je ne savais pas en quoi s'agissait ce lien, mais cette étrange sensation d'être observée, presque surveillée, me fit peur. Que faisait-il? Possédait-il le même instinct que moi? Observait t-il mon esprit? En poursuivant mon cheminement, j'en vins a me demander quelles informations il avait collectées sur moi.

« Arrêtez ça tout de suite »
dis-je

Je m'affolais peut-être pour un rien, et me rendis compte que je n'en savais pas plus sur lui, puisque j'avais coupé mon escapade vers son psychisme. Je n'avais même pas regardé du coté de la femme. Je me sentais démunie et avais le pressentiment que, pour une fois, ce n'était pas moi qui en savait plus sur l'autre.
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MessageSujet: Re: Lorsque je pensais à autre chose...   Lorsque je pensais à autre chose... I_icon_minitime

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