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Bonjour à toi.

La chasse à l'Homme vient de commencer dans New-York. Il s'agit maintenant de survivre. Mutants ou Humains, la question est de savoir si on sera le prédateur ou la proie. Bienvenue sur The Sad Street of New-York.
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 Course poursuite { Aidan Coltrane

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Adrian J. Mc Farland
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Adrian J. Mc Farland


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MessageSujet: Course poursuite { Aidan Coltrane   Course poursuite { Aidan Coltrane I_icon_minitimeJeu 27 Aoû - 2:30


    Une balle siffla près de son oreille


«  Stoppez les tirs ! Il n’est pas là »



    Sa voix emplissait la pièce vide. Son homme venait de prendre la fuite. Adrian Mc Farland rangea son arme dans l’étui attaché à sa ceinture. Ses yeux sombres analysaient la pièce avec minutie comme un animal à la recherche d‘une proie. Voilà plus de trois jours qu’il était à la poursuite d’un mutant. Le lieutenant de police tourna enfin la tête vers ses hommes. Ils étaient tous munis d’une tenue bleue marine et d’un fusil à longue distance. Seule ombre au tableau, les trois quarts ne savaient pas tirer lorsqu’il le fallait. A un centimètre près, il se retrouvait avec une balle logée dans la boîte crânienne. Il dissimulait son énervement derrière un masque froid et dur. La plupart d’entre eux n’avait pas plus de 30 ans, leur capacité à réfléchir était donc laisser pour compte. Dans quelques années, ils pourront porter une arme sans risquer d’envoyer dans l’au delà leur supérieur. Enfin, c’était ce qu’Adrian espérait.


«  Fouillez toute la maison. Il ne doit pas être bien loin. »



    Un ordre implacable que tous essayait de suivre à la lettre. Parmi ses jeunes flics se trouvaient Joe Summers, il avait vaincu toute sa vie dans le Bronx et n’aimait pas qu’un étranger de la trempe de Mc Farland vienne lui donner des ordres. Joe avait 22 ans et n’aurait jamais imaginé qu’il finirait avec une plaque de police autour du coup. Son père était un ancien mafieux qui coulait des jours paisibles dans une cellule d’Alcatraz. Il avait été arrêté dix ans plus tôt pour trafic de stupéfiants et avait légué son petit empire à son fils. Manque de chance, le fiston n’avait pas hérité des talents paternels et s’était fait pincer au bout de deux jours de son triste règne. C’était pour cette raison qu’il se retrouvait dans la police, il avait conclu un arrangement avec la police. Adrian ne le portait pas dans son cœur. Ce gamin n’avait rien à faire dans son équipe, mais comme Van Ritten lui avait collé dans les pattes. Il était condamné à subir les babillages d’un délinquant juvénile. Il avait connu de meilleure recrus.




«  Y fait quoi le mutant ? »




    Mc Farland était à deux doigts de craquer. Summers était aussi bonne orateur qu’Adrian était amusant. Le lieutenant passa sa main sur son visage avant de sortir une affiche qu’il avait soigneusement plié dans sa poche. Il la tendit à Joe, une expression exaspérée sur le visage




* Nom du sujet : Kevin Spaler
Mutation: Passe à travers les matières solide
Recherché pour: Divers vols.*




    Le gosse du Bronx leva un regard ahuri vers son supérieur. Il ne manquait plus que la bouche entrouverte, et Adrian avait devant lui la parfaite imitation d’un poisson rouge sur le point de mourir. Le lieutenant lui reprit la feuille avant de la remettre dans sa poche. Il n’avait pas le temps de donner une leçon de grammaire à cet inculte de premier choix.
    Sans un mot, le flic se plongea dans les profondeurs de la petite bâtisse. Elle était petite et poussiéreuse, le genre de maison qui vous terrorise lorsque vous être môme. Adrian remarqua qu’il y avait une bonne couche de poussière sur le plancher qui au son qu’il produisait devait être infesté de termite.


* Charmant comme appart’



    Il n’était pas très porté sur le ménage mais cette baraque en ruine lui donnait envi de rentrer chez lui pour essuyer de font en comble tout les recoins de son studio. Cet endroit lui donnait la chaire de poule. Il n’y avait ni eau courant ni électricité. Rien que des le poussières, des meubles et de vielles coupures du journaux. Personne ne normalement constituer pouvait survivre dans tous ce bazard. Alors qu’il s’apprêtait à ouvrir la porte de la chambre, un bruit de verre brisé se fit entendre de l’intérieur.



« Il est là ! »



    Adrian recula de deux bons mètres avant d’enfoncer la porte. La chambre ne ressemblait en rien aux autres parties de la maison. Les murs étaient fraîchement repeint et le sol carrelé était plus brillant que dans un hôpital. Une lumière vive entrait par le carreau brisé. Et un peu de sang coulait le long du verre. Il était blessé s’était une bonne chose, il le retrouverai plus facilement.



« Je passe par derrière vous appelez des renforts. »



    Il le tenait, dans quelques secondes ou minutes ce mutants seraient derrière les barreaux. Il n’y avait pas de place pour les sentiments dans ce métier. Chaque semaine, il arrêtait des hommes et des femmes pour les amener devant la justice New-yorkaise. Il n’éprouvait pas de remords il ne faisait que son travail. Il avait été touché par une seule arrestation: celle de son frère Simon. Mc Farland n’avait pas dormi pendant des jours après cette histoire. Il avait fait son devoir mais un goût amer de remords l’envahissait. On lui avait interdit de parler à son petit frère. Les derniers mots qu’ils avaient échanger étaient des menaces. Ils avaient été séparé pendant plus de dix ans et la seule chose qu’il avait pu faire était de le rendre à la police. Dans d’autre circonstances, il aurait pris le garçon dans ses bras et l’aurait serré contre lui. Il l’aurait questionné pendant des heures sur ce qu’il était devenu et ils auraient pris une bière dans un bar de la ville. Mais la vie était injuste et Simon était devenu un mutant dangereux et sociopathe. Adrian n’aurait jamais pu le contrôler il le savait. Mais cela ne l’empêchait pas de faire des cauchemars la nuit.
    Mc Farland fit le tour de la demeure en quelques minutes. L’homme ne devait pas être bien loin. Suivant son instinct, il se lança à sa poursuite, son revolver à la main. Depuis qu’il vivait à New York, Adrian avait appris à connaître le parc comme sa poche. Il y faisait son jogging tous les matins et s’y reposait lorsqu’il avait un jour de congé. Il s’élança donc à la poursuite du mutant sur de lui et certain qu’il ne lui échapperai pas.


« NYPD ! On s’arrête »



    Le mutant était blessé, il ne devait pas être loin. Il remercia mentalement son père adoptif de l’avoir inscrit à un cours de football américain. Son entraîneur le faisait courir dans tous les sens pendant plusieurs minutes ce qui avait entraîner son endurance et sa rapidité. Le lieutenant suivit les traces de sang jusqu’à ce que celle-ci se tarissent puis disparaissent. Il s’arrêta brusquement à la recherche du moindre indice qui lui permettrait de coincer ce satané mutant. Mais il ne vit rien. Le souffle haletant il n’arrivait pas à y croire. C’était comme s’il avait disparut. Adrian était croyant mais pas assez naïf pour croire au paranormal. Son futur prisonnier ne devait pas être loin, il le sentait du fond de ses tripes. Le cœur battement il balayait la zone du regard en faisait bien attention de ne rien laisser au hasard.

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Aidan C. Coltrane
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MessageSujet: Re: Course poursuite { Aidan Coltrane   Course poursuite { Aidan Coltrane I_icon_minitimeJeu 27 Aoû - 12:29

" C’est à ce moment précis que j’ai commencé à penser à Thomas Jeffersen, à la déclaration d’indépendance, à la partie sur le droit de chacun à la vie, à la Liberté et à la poursuite du bonheur. Et je me souviens m’être dit, comment a-t-il eu l’intuition de mettre l’idée de poursuite là-dedans ? Comme si le bonheur était une chose que l’on ne peut que poursuivre et éventuellement ne jamais atteindre peu importe les circonstances... Comment a-t-il su ? "


    Installé contre un arbre, à l'écart des chemins de Central Park, et donc à l'abri des regards, Aidan lisait. Il en avait eu assez d'être enfermé sous terre, et comme la météo s'y prêtait particulièrement, il avait décidé qu'il agirait comme un humain ordinaire pour une fois. Après tout, le dimanche n'était-il pas un jour de repos ?
    Le bouquin qu'il avait entre les mains, il l'avait volé, mais il n'en était pas à son premier coup, si bien qu'il n'en ressentait pour ainsi dire aucune gêne. On le poussait à agir de la sorte.
    Et bien qu'il reste extrêmement prudent, et attentif à ce qui l'entourait, les lignes qu'il parcourait l'interpellaient :


" Pourquoi se révolter de la sorte ? mais voyons : au nom du bonheur. Quoi d'autre ? Si, même dans les systèmes politiques les plus affreux, au fond de la dictature totalitaire, certains continuent de se révolter au grand jour, c'est parce qu'ils ne supporteraient pas de vivre dans des conditions pareilles : si leur société ou leur État les empêche de goûter au bonheur, ils préfèrent mourir. "


    L'ouvrage contenait des textes tirés de romans, mais aussi de manuels de philosophie. Mais c'était bien un mot du titre qui l'avait attiré : le bonheur.


" [...] Cela porte une leçon particulière : si nous cherchons vraiment le bonheur, il nous faut sans doute du courage ; à bien des égards, on peut affirmer que c’est justement quand l'individu ose se dresser contre l’injustice, quand il expose son corps mortel à la menace physique pour protéger ceux que l’on aime, quand il reprend sa liberté malgré les fusils, qu'il atteint sa vraie grandeur. Il ne s'agit pas ici, comprenons-nous, d'une absence de crainte proche de l'aveuglement : le courageux ressent la peur - mais il ne la laisse pas le dominer. "


    L'auteur pensait bien, du moins, d'une façon similaire à la sienne, ce qui plaisait au mutant. Toutefois, il avait été interrompu dans ses loisirs par des bruits de pas précipités qui venaient dans sa direction...
    Vif, il avait bondit dans l'arbre, profitant de la cachette que lui offraient ses feuilles, avant d'observer l'individu qui venait de s'arrêter au pied du tronc, le souffle court.
    Il était jeune, et paraissait terrifié. Il ne pouvait s'agir que d'un mutant, poursuivit par les forces de l'ordre...
    Aussi, le jeune homme s'était laissé tombé devant lui, provoquant une nouvelle vague de panique, accompagnée par un flot de paroles, mêlées à des sanglots incontrôlés :

    Kévin : Ne tirez pas pitié, je n'ai rien fais de mal ! D'accord, j'ai volé quelques trucs, mais j'avais faim, et soif, et...

    Aidan l'avait interrompu dans sa tirade en apposant l'une de ses mains sur sa bouche, avant de lui montrer ses yeux, qu'il avait transformés l'espace de quelques secondes :

    - Eh là, du calme, tu vois, je suis comme toi.

    Kévin : V... vrai ?

    - Oui, mais je te conseille d'arrêter de crier. Tu vas attirer l'attention sur nous, et j'imagine que ce n'est pas ce que tu veux ?

    Kévin : N... non ! Bien sûr que non !

    - Bien. Premièrement, empêches ton bras de saigner, histoire qu'on ne te suive pas à la trace. Voilà, comme ça. Suis moi maintenant.

    Il n'y avait pas de temps à perdre. Le mutant connaissait une bouche d'égout qui se trouvait non loin de là. S'ils l'atteignaient...

    [...]

    Pas moyen de l'ouvrir. Elle était coincée, peut-être l'œuvre de Van Ritten, peut-être pas. Quoi qu'il en soit, c'était un sacré coup de malchance... Cependant, le poursuivit avait dit être un passe-muraille...

    - Vas y.

    Kévin : Mais... et toi ?

    - Je m'en sortirais.

    Kévin : Merci... merci, vraiment, je...

    - C'est rien.

    L'instant d'après, son " protégé " du jour avait disparu : encore un sur lequel le NYPD ne mettrait pas la main.

    [...]

    En parlant de la police...
    Un homme semblait être à la recherche de quelqu'un, et il avait tout à fait la tête de l'emploi.
    Comment faisait Josh déjà ?
    Ah oui...
    Marcher comme si de rien n'était, d'un pas tranquille. Ce mec n'avait rien contre lui. Il pourrait lui demander ses papiers, il en avait des faux. Et si les choses se corsaient, l'effet de surprise lui permettrait de le semer...
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MessageSujet: Re: Course poursuite { Aidan Coltrane   Course poursuite { Aidan Coltrane I_icon_minitimeVen 4 Sep - 21:16

 
Tout autour de lui était silence. Il semblait que dans l’instant, chaque plante, chaque animal aient tacitement décidé de se taire. Le parc était plongé dans le calme absolu. Le climat était plus pesant que jamais. C’était comme ci le monde retenait son souffle le temps d’un instant. Adrian scrutait l’espace tel un rapace à la recherche d’une proie. Il savait que, bien souvent, la nature se mettait en suspend lorsque le danger s’approchait. Combien de fois les savanes s’étaient tut face à un lion ? Des centaines, des milliers, peut-être des millions voir des milliards de fois. L’instinct de la vie était fait pour se suspendre face à la peur.
Adrian fit un pas en avant. Sa chaussure vernie de noir froissa l’herbe fraîchement coupée dans un léger bruissement. Il tenait son arme droit devant lui. Les années lui avaient appris la notion de prudence. Chaque bosquet ou arbuste pouvaient se révéler être une cachette rêvée pour un fugitif tel qu’un mutant. Mc Farland décida de brisser le silence bien trop présent par ce bel après-midi
«  Police de New York ! Montrez-vous ! »
Comme si elle relâchait un soupire, la nature libéra le vent. Une rafale s’emporta dans les cheveux de jais du lieutenant. Il était tout près de sa proie, il se sentait au fond de son corps. Il recommença à marcher lorsqu’il tomba face à face avec un jeune homme à l’allure calme.

«  Lieutenant Mc Farland, un homme blessé se cache dans le parc, l’auriez-vous vu ? »
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MessageSujet: Re: Course poursuite { Aidan Coltrane   Course poursuite { Aidan Coltrane I_icon_minitimeVen 4 Sep - 22:58

    Adrian : Police de New York ! Montrez-vous !

    Quel imbécile !
    Il faudrait être un fou pour lui obéir, en sachant le sort que l'on réservait aux mutants captifs !
    Une rafale de vent avait ébouriffé les cheveux blonds du métamorphe, avant qu'il ne se retrouve nez à nez avec le flic, qui tenait son arme pointée devant lui, visiblement prêt à faire feu au moindre signe de vie de celui qu'il poursuivait.
    Bon. La situation était grave, mais pas désespérée. Sans se départir de son calme, Aidan avait rivé son regard dans le sien, avant de l'écouter lui adresser la parole :

    Adrian : Lieutenant Mc Farland, un homme blessé se cache dans le parc, l’auriez-vous vu ?

    Évidemment, un humain ordinaire, à moins d'avoir entendu hurler " POLICE ! ", ne pouvait se douter de ce qui amenait son interlocuteur, aussi, il avait prit un air étonné, avant de répondre, feignant l'innocence avec habileté :

    - Un blessé ? Oh non mon lieutenant...

    Mon lieutenant... Appellation pompeuse qu'il lui déplaisait fortement, mais il paraissait que les membres des forces de l'ordre aimaient bien qu'on leur cire un peu les pompes de temps en temps...

    - Que lui est-il arrivé ? Je veux dire, à cet homme ? Est-ce qu'il est dangereux ? Armé ?

    Son vis à vis oserait-il lui raconter la vérité ?
    Il voulait le tester, voir s'il assumait ses convictions. En cet instant, il ne ressentait guère trop la peur d'une éventuelle capture. Il ressemblait à un jeune homme tout à fait ordinaire, si l'on oubliait ses cicatrices et autres petits détails qui ne sautaient pas forcément aux yeux des inconnus, et il avait bien l'intention de profiter de la situation pour savourer sa nouvelle" victoire " sur l'oppresseur...
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MessageSujet: Re: Course poursuite { Aidan Coltrane   Course poursuite { Aidan Coltrane I_icon_minitime

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