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La chasse à l'Homme vient de commencer dans New-York. Il s'agit maintenant de survivre. Mutants ou Humains, la question est de savoir si on sera le prédateur ou la proie. Bienvenue sur The Sad Street of New-York.
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 Marinés...? Ou Hachés...?... (PV: June)

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Bénihimé Byakuya
La princesse au sang malade
Bénihimé Byakuya


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MessageSujet: Marinés...? Ou Hachés...?... (PV: June)   Marinés...? Ou Hachés...?... (PV: June) I_icon_minitimeJeu 3 Sep - 0:34

Le métro était désert, sale, sombre et silencieux. Le quai était éclairé d'une lumière diffuse par intervalles irréguliers produit par le crépitement d'une ampoule encore entrain de rendre l'âme. D'ailleurs ce crépitement était le seul bruit audible ici. On devinait des murs abîmés par l'âge, rongés par le flux et le reflux incessant d'êtres démoralisés et hypocrites ou ravagés par des combats pour les plus imaginatifs. Un Escalator, arrêté, tenait debout, adossé au silence du vide laissé par un trou béant dans le squelette de cette si mélodieuse structure. Les fruits, sur lesquels s'appuyait le sol du dessus et habituellement gris, prenait, ce soir, une teinte noirâtre entouré d'un magnifique cuivre cramoisi, à cet endroit précis.




Avec beaucoup d'imagination nous pourrions dire qu'il s'agit là d'une incroyable méprise, un cracheur de feu daltonien sourd qui, ayant confondu "métro" et "chapiteau" serait venu ici pour démontrer, à tout son entourage, les biens faits du monoxyde de carbone sur leurs poumons. Mais qui, par mégarde, laissa sa bouteille d'alcool tomber, ce dernier surpris eut un sursaut et baissa la tête pour regarder ce qu'il se passait, la bouteille effroyablement inflammable remplit son rôle et explosa sans retenue envoyant voler ses éclats de verre dans toutes les directions. Le cracheur de feu à la fois surpris, brûlé, coupé et acculé par les hurlements de ses victimes malchanceuses glissa sur une flaque de sang récemment versé par le crâne éclaté d'une jeune femme d'à peine 15ans. Il recula d'une dizaine de mètres avant de tomber lamentablement sur un homme, d'une cinquantaine d'années. L'homme le repoussa laissant le cracheur de feu cracher le reste de ses poumons sur la rambarde, arrachée, qui l'avait, avec l'aide du cinquantenaire, empalé au niveau du nombril. Pris de panique un jeune asiatique trouva intelligent de se jeter dans les flammes et d'aller faire des câlins à tout ces malchanceux. De bouches à oreilles l'incendie ce propagea trouvant du combustible sur ces charmantes dames ou ces affiches de publicités collées aux murs. On reconnaissait rapidement les alcooliques qui tentaient de se cacher dans les flammes alors qu'un magnifique "BOUM!" les montrait du doigt.

Les flammes hurlaient, les enfants pleuraient, les hommes basaient les deux à la fois et les morts, souvent noir, restaient muet sans bouger. Tout le monde couraient, sauf les morts, tous se précipitaient dans L'escalator pour atteindre la sortie, mais aussi le foyer de ce splendide spectacle. Soudain un chanceux malchanceux trébucha sur une valise alors qu'il posait enfin un pied sur le sol, l'homme qui le suivit, aveuglé par le blanc de la couche culotte, tapa dans ce ballon improvisé qui percuta de pleins fouet une vieille dame qui l'accueillit à ventre ouvert. L'homme horrifié de son acte se stoppa, laissant un magnifique numéro de vole plané, aux spectateurs allongé devant lui sur le sol, lorsque la valise explosa emportant avec elle ce petit bout de sol et beaucoup de petits bouts de tout le monde autour. Le souffle de l'explosion acheva les survivants et tua les vivants sur des dizaines de mètres. Tout les survivants étaient morts. Tous. Tous? Non, deux irrésistible garçons étaient assis contre un mur, ils n'avaient pas bougé, par contre les murs les entourant, eux, avaient bougés plus d'une fois pour les protéger.




Avec beaucoup cette version des faits pourrait être bonne, mais avec plus de réalisme: le sol de ce souterrain avait croulé sous l'usure et le poids des pas, et la lampe qui se trouvait au dessus depuis autant de temps que le sol était là avait pété tout bonnement ce qui avait enclenché la fermeture de cette accès. Mais ici vous êtes à New York et à New York ceux qui n'ont pas d'imagination sont des imbéciles ou des morts, car ici à New York, l'impossible ou l'improbable ne sont que pures vérités.

Après l'incendie, l'explosion, les hurlements, les pleurs, voila que la police était arrivé sur les lieux. Avec l'aide des pompier, du SAMU et de toutes les autres personnes et organisations présentes, ils avaient enlevé les morts, éteint les incendies, dégagé les décombres et accosté les deux garçons. Cette misérable approche était la cause des impactes de balles visibles des les murs. Seulement un corps jonchait le sol devant une colonne rougie par le sang.


Bénihimé sourit, laissant ses bras le long du sol, veines ouvertes. Deux filets de sang parcouraient le sol reliant colonnes, plafond, murs, sol, poignets. Il était, yeux fermés, bouche ouverte et tête nue, baignant de le frai sang de son corps. Il tourna la tête vers le second garçon, endossé contre un mur. Le grésillement de l'ampoule était le seul brui de ces lieux où régnait la mort et le sang, par intermittence il éclairait la pièce reflétant le rouge de toutes ses parois. Bénihimé s'assit tant bien que mal et hocha la tête. La colonne commença à diminuer de taille libérant de l'eau rougie, puis libérant des corps jusqu'à disparaître complètement. L'eau partait d'un coté, le rouge de l'autre, chaque liquide rejoignait son maître.

Bénihimé trouva la force d'aller s'adosser contre un mur. Il posa une main à plat contre celui ci et baissa la tête l'air anxieux. Sa voix raisonna comme les cloche d'une abbatiale à minuit le soir de noël.


-Tu penses en avoir fini avec les autres ?...
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June Junsuii
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MessageSujet: Re: Marinés...? Ou Hachés...?... (PV: June)   Marinés...? Ou Hachés...?... (PV: June) I_icon_minitimeJeu 3 Sep - 22:28

Un abrutit qui crache du feu, un asiatique maboule, un vieux qui pousse tout le monde sur des piques... Ha qu'elle était belle la grande ville de New York! Dire que ce foutu pays est le leur... A quelques détails pret... La journée avait pourtant bien commencée, ils s'étaient tout deux assis contre un mur, regardant distrètement les américains, espagnols et autres nacionalités passer devant eux comme des fusées, comme s'ils n'étaient rien pour eux... Mais après tout, tous ces passants ne devaient pas avoir totalement tord. Des fugitifs, voila ce qu'ils étaient... Et traqué pour June. Mais bon, même si au début ce genre d'existence déprime et fait vraiment peur, on s'y fait.

Mais, comme il y a toujours un mais, ce débile profond à fait mumuse avec le feu... Il y a laissé et la vie, et la station, plus celles d'une bonne centaine de jeunes, de délinquants, de criminels, de vieux, de retraités, de divorcés, de veufs... Enfin, pas d'innocents donc.

Mais reprenons. Tout s'était passé bien trop rapidement pour le décoloré qui somnolait tranquillement contre son mur. Tout ce qu'il avait compris, c'est que Bénihimé lui avait épargné une mort moyennement agréable au milieu d'humains chiants.

June avait prit soin de ne pas baisser les yeux une seule fois vers les poignets de son ami. Il n'aimait pas du tout la vue de ses poignets ouverts, et tout ce sang avait l'art de lui faire rendre ses repas. Idem pour les visages de ces policiers... Heureusement qu'il ne les voyait pas. Combien d'entre eux avaient une femme, des amis, des enfants? Combien de fois le téléphone sonnerait-il pour annoncer qu'un honnete New Yorkais qui voulait améliorer son pays avait trouvé la mort par noyade dans une station de métro...

A l'intérieur des murs, un petit espoir fleurit, peut être qu'ils s'en sortiraient? Les hommes en uniforme reprirent espoir... Mais June ne pouvait pas... Vivre caché sous un pont était assez dur ainsi, il ne voulait pas avoir des policiers à dos. L'eau remonta, leur arriva à la gorge, submergea les plus petits... Avant que plus un seul espace aéré n'existe.

L'asiatique tourna rapidement la tête vers son ami, frissonant en voyant son visage épuisé et ses veines ouvertes. L'eau étant glacée, il ne leur restait plus beaucoup de temps à vivre.


-Ouai... Je les tue ou les met juste dans les pommes?

Après un silence passé à fixer les murs, il se retourna de nouvea vers Bénihimé.

-Comment tu te sens...?

Il était presque persuadé qu'il allait lui répondre un truc du genre: Je vais bien t'en fais pas... Mais comment ne pas s'en faire à la vue de cette mare de sang...?
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Bénihimé Byakuya
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MessageSujet: Re: Marinés...? Ou Hachés...?... (PV: June)   Marinés...? Ou Hachés...?... (PV: June) I_icon_minitimeVen 4 Sep - 20:01

Bénihimé sourit, en ces lieux la pitiée était plus une faiblesse qu'une force, mais June était comme ça. Il était trop sentimental, refléchir aux consécances de nos actes revenait à se livrer à la police. Peut être que Bénihimé était aussi détaché par rapport à la mort parce qu'il ne tuait pas, il se contentait d'être le bouclier et June l'épée, mais au bout du compte le résultat était le même, eux vivaient. Il secoua nochalament la tête, son sourire toujours bien prononcé sur son visage délavé.

-Ne t'en fais pas pour moi, tu m'entendra tomber, si ça arrive ne t'inquiètes toujours pas. Mais quand tu commencera à mouiller fais moi plaisir et prend ta princesse dans tes bras.

Il y avait dans sa voix une pointe d'humour, bien évidemment jamais June ne pourait le prendre dans ses bras. La mutation de Bénihimé était, certe très utile mais, très invalidente, il privait son organisme d'une quantité impressionante de sang ce qui lui coutait beaucoup d'énergie pour se meintenir conscient. le second endicape était le poid que cela lui donnait, en effet aujourd'hui son corp squelétique dépassait largement les 200kg. Il était obligé de prendre les marche, même quand il y avait un ascenseur, c'est très dificil d'assumer son poid en temps nomral, mais quand on a le corps d'un saumalien c'est encore plus dure, mais on se fait à tout.Il s'assit tan bien que mal et lourdement sur le sol. Il tourna la tête vers June perdant son sourir.

-j'en sais rien... fait leur peur piiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis... ba voila... j'en sais rien.
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June Junsuii
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MessageSujet: Re: Marinés...? Ou Hachés...?... (PV: June)   Marinés...? Ou Hachés...?... (PV: June) I_icon_minitimeJeu 17 Sep - 20:15

Le prendre dans ses bras... Il était drôle lui, il n'avait pas pour habitude de soulever des mamouths! Déja que June n'était pas franchement musclé, il se voyait mal transporter ce camion sur pattes... Quoi que, en utilisant de l'eau pour le faire glisser... Non, ça risquait de faire un peu tache en pleine rue.

- Tu veux que je te tranporte ma belle? Mais tu sais que je pourrais te laisser tranquillement ici? Te toute façon ils arriveront même pas à te soulever, et ce soir j'ai plus qu'à revenir te chercher!

June lacha un soupire résigné en tournant le dos à son ami. Décidément, la vue de tout ce sang lui donnait toujours autant la nausée. Il y a des choses auxquelles on ne s'habituerait jamais après tout. Il se concentra plutôt sur la vie des hommes prisonniers de sa cage aquatique. Dire qu'un simple effort de sa volonté aurait suffit pour tous les tuer, les broyer, les noyer, les mettre en pièces... Mais il n'en fut rien. Les hommes se retrouvèrent totalement submergés, l'eau fini par remplir leurs poumons lorsqu'ils n'en pouvaient plus, et nombres d'entre eux tombèrent dans l'inconscience... C'est à ce moment précis qu'il laissa toute l'eau retourner de la où elle venait: dans les conduits de la ville, des égoûts, des bouches d'incendie... De partout quoi.

Il alla rapidement rejoindre Bénihimé, s'accroupissant devant son ami qui était effroyablement pâle.


-Himé... T'es sur que ça va aller? Franchement à te voir on peut penser que tu vas claquer d'une seconde à une autre... Sérieusement tu me fais peur là...

Comme à chaques fois qu'il perdait trop de sang d'ailleurs... Mais il fallait comprendre le pauvre petit décoloré, ce n'était facile pour personne de voir son seul ami se vider de son sang sous ses yeux sans rien pouvoir faire.

-On peut pas rester là trop longtemps en plus, immagines que des renforts arrivent.
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Bénihimé Byakuya
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MessageSujet: Re: Marinés...? Ou Hachés...?... (PV: June)   Marinés...? Ou Hachés...?... (PV: June) I_icon_minitimeJeu 17 Sep - 20:46

Bénihimé souriait de nouveau, à vrai dire il souriait toujours, même dans ls moments les plus durs, les instants de massacres ou de fuites, lorsqu'une balle lui frolait la tempe avant qu'il n'ai le temps de réagir, lorsqu'ils s'endormaient tout les deux sur les bords d'une ville où adossés à des poubelles. Il souriait toujours quand il s'entaillait les veines pour utiliser son sang ou quand il voyait une mère embrasser son enfant, quand un père pleurait devant des policiers tenant un petit enfant par la main ou quand des jeunes se fesaient abbatre à bout portant. Mais surtout il souriait quand il croisait le regard de June. Son sourire n'était pas dû au stresse, il n'était pas involontaire, il n'était pas irronique. Il souriait simplement par suffisance personnel, s'il devait déprimer pour ce qu'il était, pour ce qu'il faisait, pour ces conditions de vie, pour sa vie tout simplement... Il serait préférable de s'entailler les veines avec la ferme conviction de déverser des litres et des litres de sang dans ces rues nauséhabondes et infectes qui sente les massacres, les dessantes, les trafiques, la mort, l'immondité et la police. Non, Himé préférait sourire à tout ces desastres, ce sourir voulait dire "un peu de "je m'en foutisme" ne fairait de mal à personne par ici".

Il sentit au fond de lui l'eau se vider, solagé il laissa ses bras s'échouer sur le sol. Le plafon commença à tomber en morceaux. Des plaques d'aciers s'écroulaient sur le sol qui lui aussi tombait en ruine, les murs s'affessaient d'eux même dans un vacarme assourdissant. L'échos des chute se répercuta contre les murs de bétons de la véritable structure et résona dans les tunnels dans un grondemant sourd et continu. Les décombres sur le sol devinrent rapidement liquid et, contournant June, revint en un torent dans les veines de leur princesse alors prise de convultions. Tout son corps tremblait, ses yeux était retournés et il donnait l'impression de s'élever légèrement du sol. Chaque vibration de son corps ajoutait une note métalique à la symphonie du brouaha qu'il provoquait.

Les murs n'était plus que de fragiles murets qui disaparurent à leur tour, Les deux garçons touchèrent alors le sol véritable. Il n'y avait presque plus aucunes traces du ce liquid si convoité par les meurtrier et répugante pour le commun des mortels. Bénihimé avait perdu son sourire laissant place à une expression de douleur intense. Ses convultions finirent finalement, il releva la tête les yeux dégoulinant... Il s'essuilla les yeux d'un revers de la main, les goutes de sang retournèrent dans ses veines et Himé retrouva son sourire. Sa voit était un peu tremblante mais ses couleurs étaient plus ou moins revenues.

Notre petit somalien resté totue sa vie dans la cave de sa case se leva un rire narquoi aux lèvres.


-Meintenant c'est certain que d'autres vont arriver. Tu veux pas continuer de jouer ?
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